Divios, homme sentinelle
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Divios, homme sentinelle
Mon nom est DIVIOS. Je suis un combattant depuis aussi longtemps que portent mes souvenirs. J'ai bataillé partout sur la terre du milieu, depuis que ma famille à péri dans un raid Orc, à coté de pont a tréteaux, ou nous nous pensions en sécurité. Enfant, j'ai pu me cacher, et apprendre diverses façons de manier les armes, de l’épée à l'arc, mais j'ai choisi la Lance, rapide et puissante, et le grand bouclier qui me permet d'éviter de porter une armure lourde. Je préfère la rapidité, le déplacement, la surprise... Je n'ai plus de pitié envers eux. J'ai quelques amis, mais ma vie est dorénavant vouée a patrouiller sur les bordures du monde qui nous reste, souvent seul en avant poste, la nuit, sous la pluie froide qui me lave l'esprit.
Je suis artisan menuisier, et passe des nuits entières a travailler mes lances et javelines en quête d'améliorations.
Je sais toutefois apprécier la compagnie des hommes, des nains, des hobbits, des elfes, pourvus qu'il soient libres et conscients du danger qui menace leurs familles. Je ne supporte toutefois pas bien l'insouciance des hobbits, si ils avaient vu ce que j'ai vu ils danseraient moins...
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Ce personnage est dans une autre guilde, pour jouer seul en semaine, mais je tenais toutefois a le présenter avec son état d'esprit, pour nos rencontres inévitables !
n'essayez pas de me faire boire, le jour on je laisserai mon esprit s'embrumer n'est pas encore venu !
Je suis artisan menuisier, et passe des nuits entières a travailler mes lances et javelines en quête d'améliorations.
Je sais toutefois apprécier la compagnie des hommes, des nains, des hobbits, des elfes, pourvus qu'il soient libres et conscients du danger qui menace leurs familles. Je ne supporte toutefois pas bien l'insouciance des hobbits, si ils avaient vu ce que j'ai vu ils danseraient moins...
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Ce personnage est dans une autre guilde, pour jouer seul en semaine, mais je tenais toutefois a le présenter avec son état d'esprit, pour nos rencontres inévitables !
n'essayez pas de me faire boire, le jour on je laisserai mon esprit s'embrumer n'est pas encore venu !
Dernière édition par Throben le Ven 23 Déc - 20:00, édité 1 fois
Re: Divios, homme sentinelle
La vache, il ne rigole pas le frère nain.
Pas de bière!!!
Mais c'est quoi ce nain! Qu'est ce qu'il a contre les hobbits?
Allez boit un coup mon frère, c'est Nutrof qui l'a fait...
Nutrof, brasseur
Pas de bière!!!
Mais c'est quoi ce nain! Qu'est ce qu'il a contre les hobbits?
Allez boit un coup mon frère, c'est Nutrof qui l'a fait...
Nutrof, brasseur
Re: Divios, homme sentinelle
Ah ,je comprends mieux maintenant.
Ce n'est pas un nain, c'est pourquoi il n'aime pas boire!
PFF, pauvre homme au pain sec et a l'eau!
Nutrof, Natural Beer Drinker
Ce n'est pas un nain, c'est pourquoi il n'aime pas boire!
PFF, pauvre homme au pain sec et a l'eau!
Nutrof, Natural Beer Drinker
Re: Divios, homme sentinelle
tu as déjà vu des nains sentinelle toi? Il n'y a que humain et elfe, le choix était rapide
Re: Divios, homme sentinelle
Et des hobbits non?
Au fait, il est chez qui, pour la confrérie?
Nutrof, serial deconneur
Au fait, il est chez qui, pour la confrérie?
Nutrof, serial deconneur
Re: Divios, homme sentinelle
ah oui c'est vrai, les hobbits aussi, mais il y a un minimum en dessous duquel je ne peux pas descendre (sous la ceinture), et question RP je trouve ça juste ridicule, un hobbit sentinelle, comme un hobbit gardien d'ailleurs !
le confrérie c'est les Enfants des Peuples libres, ça se passe ici : http://epl.n4v1.com/forum/index.php?sid=5517e1bd20c786a954b9151849fb6822
le confrérie c'est les Enfants des Peuples libres, ça se passe ici : http://epl.n4v1.com/forum/index.php?sid=5517e1bd20c786a954b9151849fb6822
Re: Divios, homme sentinelle
Divios a fait ses premiers pas dans la Moria. C'est vraiment génial et rien que les quêtes pour y accéder sont déjà top. J'ai hâte de voir la suite.
Re: Divios, homme sentinelle
Je profite du silence assourdissant du forum pour vous raconter un peu une histoire, tel un parchemin dans une bouteille jetée a l'eau, et alimenter un peu le RP. J'en profite pour faire une bise a tous, avec pas mal de tristesse que tout cela soit si calme... J'espère que vous allez tous bien, surtout ceux que je n'ai pas régulièrement au bout du fil (là bas dans le sud ) ! On va remettre ça mais la période est chargée (ce n'est pas Alain qui dira le contraire !)
La parole est à Divios:
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J'ai depuis peu découvert un pays magnifique, le pays de Dun. J'y ai fait la connaissance d'un peuple guerrier et rustique, mais empreint de sagesse et ne cherchant pas le pouvoir au delà des limite des villages et des clans. Grâce à l'aide apportée a une jeune femme prisonnière, j'ai été accueilli dans le clan du Cerf, où j'ai pu, grâce a mes connaissances du combat et de l’ennemi, rendre service à divers personnes. En partie à l'aide de mes conseils, ils ont refusé la main tendue par Saroumane, qui les aurait entrainé dans la guerre, et probablement pire.
Je me suis lié d'amitié avec l'Ancien du village, un homme qui ne se confie pas facilement à un étranger, mais qui curieusement m'a fait découvrir son peuple et son pays, l'un comme l'autre magnifiques.
Cette terre, il me semblait l'avoir déjà vue en rêve, étrangement familière...
Un soir, l'Ancien m'a pris a l'écart, et m'a révélé un secret qui est en train de bouleverser mon existence: Alors que je me baignait dans l'eau de la rivière qui coule au pied du village, un des hommes a remarqué le tatouage que je portais sur l'épaule. Ce tatouage, je le porte depuis que je suis enfant, je ne me souvient pas ne pas l'avoir eu, je ne peux lui donner une origine.
L'Ancien, sans détour, m'a dit qu'il me connaissait :
" Un enfant qui portait ce symbole, tatoué dès la prime enfance, comme c'est la coutume dans les Clans, a habité il y a des années dans les collines non loin. Ce tatouage ravive en moi une histoire tragique et douloureuse, l'histoire d'une femme du pays de Dun, tombée amoureuse d'un émissaire Rohirrim venu négocier la paix. Ce cavalier, sa mission terminée, a renoncé aux vertes prairies de son Rohan natal, ou paissent des chevaux qui sont, dit-on, les égaux des hommes de ce pays. Il est revenu habiter près de la femme et ils ont eu un enfant, adopté par le clan malgré quelques réticences, et a cet enfant fut tatoué ce symbole, preuve de son appartenance au Clan du Cerf.
La famille fut vaguement exclue de la vie du village, nos traditions interdisant que le Duvodiad (étranger) s'installe parmi nous; Ils durent vivre a l'écart, sans protection, heureux toutefois, à ce qu'il semble. Puis ce fut la guerre, la trêve fut rompue comme c'est si souvent le cas, les éleveurs de chevaux reprirent leurs raids sur les clans, a moins que ce ne fut le contraire, au début, je ne me souvient pas.
Alors que l'homme était parti chasser, emmenant l'enfant pour lui apprendre a monter a cheval, comme c'est la tradition chez eux dès le plus jeune age, La femme, dont le nom a été effacé de la mémoire des anciens, fut assassinée par ceux du clan du Dragon. Nos jeunes auraient pu s'y opposer, ils ne l'ont pas fait; En ces temps de guerre la haine de l'autre, même ami, n'est jamais loin.
l'homme ne revint jamais. Ni l'enfant. L'homme aurait pu se venger, il était plus fort que nombre de nos guerriers, mais il ne le fit pas. On dit qu'ils fuirent vers le nord. Les nôtres regrettèrent leur lâcheté... (long silence)
...Je suis un de ces hommes qui n'ont rien fait et pas une nuit ou un jour ne passe sans que la douleur de ce souvenir ne brule mon esprit. Tu l'as oublié mais ce tatouage, et plus encore ton regard, prouvent que cet enfant c'est toi. Ton visage et ton nom sont étrangers mais tu es des nôtres. Ceux du clan le savent déjà même si ils ne t'ont rien dit"
Je parti sans dire un mot, l'Ancien respecta mon silence. Je comprends maintenant mon étrange couleur de cheveux, rouge, différente du blond des Rohirrim mes frères que je ne connais pas. Je comprends mon nom différent, ni du Rohan ni du pays de Dun, je comprends mon attirance pour ce pays rocailleux, ses gens durs mais sincères, je le sais comme ils le savent maintenant. Je ne leur en veux pas.
Mon père et moi sommes parti vers le nord, vers le pays de Bree où l'origine du nom est moins importante. Nous sous instalâmes au nord de la ville, à Pont-à-Tréteaux, un village frontalier où mon père se remaria. Là commencent mes souvenirs. Le Destin, impitoyable, frappa de nouveau a ma porte quand un des nombreux raids Orcs massacra ma famille mais je restais caché, terrorisé. Le Destin me remit sur la route, maintenant il me met en face de mon passé.
(à suivre )
La parole est à Divios:
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J'ai depuis peu découvert un pays magnifique, le pays de Dun. J'y ai fait la connaissance d'un peuple guerrier et rustique, mais empreint de sagesse et ne cherchant pas le pouvoir au delà des limite des villages et des clans. Grâce à l'aide apportée a une jeune femme prisonnière, j'ai été accueilli dans le clan du Cerf, où j'ai pu, grâce a mes connaissances du combat et de l’ennemi, rendre service à divers personnes. En partie à l'aide de mes conseils, ils ont refusé la main tendue par Saroumane, qui les aurait entrainé dans la guerre, et probablement pire.
Je me suis lié d'amitié avec l'Ancien du village, un homme qui ne se confie pas facilement à un étranger, mais qui curieusement m'a fait découvrir son peuple et son pays, l'un comme l'autre magnifiques.
Cette terre, il me semblait l'avoir déjà vue en rêve, étrangement familière...
Un soir, l'Ancien m'a pris a l'écart, et m'a révélé un secret qui est en train de bouleverser mon existence: Alors que je me baignait dans l'eau de la rivière qui coule au pied du village, un des hommes a remarqué le tatouage que je portais sur l'épaule. Ce tatouage, je le porte depuis que je suis enfant, je ne me souvient pas ne pas l'avoir eu, je ne peux lui donner une origine.
L'Ancien, sans détour, m'a dit qu'il me connaissait :
" Un enfant qui portait ce symbole, tatoué dès la prime enfance, comme c'est la coutume dans les Clans, a habité il y a des années dans les collines non loin. Ce tatouage ravive en moi une histoire tragique et douloureuse, l'histoire d'une femme du pays de Dun, tombée amoureuse d'un émissaire Rohirrim venu négocier la paix. Ce cavalier, sa mission terminée, a renoncé aux vertes prairies de son Rohan natal, ou paissent des chevaux qui sont, dit-on, les égaux des hommes de ce pays. Il est revenu habiter près de la femme et ils ont eu un enfant, adopté par le clan malgré quelques réticences, et a cet enfant fut tatoué ce symbole, preuve de son appartenance au Clan du Cerf.
La famille fut vaguement exclue de la vie du village, nos traditions interdisant que le Duvodiad (étranger) s'installe parmi nous; Ils durent vivre a l'écart, sans protection, heureux toutefois, à ce qu'il semble. Puis ce fut la guerre, la trêve fut rompue comme c'est si souvent le cas, les éleveurs de chevaux reprirent leurs raids sur les clans, a moins que ce ne fut le contraire, au début, je ne me souvient pas.
Alors que l'homme était parti chasser, emmenant l'enfant pour lui apprendre a monter a cheval, comme c'est la tradition chez eux dès le plus jeune age, La femme, dont le nom a été effacé de la mémoire des anciens, fut assassinée par ceux du clan du Dragon. Nos jeunes auraient pu s'y opposer, ils ne l'ont pas fait; En ces temps de guerre la haine de l'autre, même ami, n'est jamais loin.
l'homme ne revint jamais. Ni l'enfant. L'homme aurait pu se venger, il était plus fort que nombre de nos guerriers, mais il ne le fit pas. On dit qu'ils fuirent vers le nord. Les nôtres regrettèrent leur lâcheté... (long silence)
...Je suis un de ces hommes qui n'ont rien fait et pas une nuit ou un jour ne passe sans que la douleur de ce souvenir ne brule mon esprit. Tu l'as oublié mais ce tatouage, et plus encore ton regard, prouvent que cet enfant c'est toi. Ton visage et ton nom sont étrangers mais tu es des nôtres. Ceux du clan le savent déjà même si ils ne t'ont rien dit"
Je parti sans dire un mot, l'Ancien respecta mon silence. Je comprends maintenant mon étrange couleur de cheveux, rouge, différente du blond des Rohirrim mes frères que je ne connais pas. Je comprends mon nom différent, ni du Rohan ni du pays de Dun, je comprends mon attirance pour ce pays rocailleux, ses gens durs mais sincères, je le sais comme ils le savent maintenant. Je ne leur en veux pas.
Mon père et moi sommes parti vers le nord, vers le pays de Bree où l'origine du nom est moins importante. Nous sous instalâmes au nord de la ville, à Pont-à-Tréteaux, un village frontalier où mon père se remaria. Là commencent mes souvenirs. Le Destin, impitoyable, frappa de nouveau a ma porte quand un des nombreux raids Orcs massacra ma famille mais je restais caché, terrorisé. Le Destin me remit sur la route, maintenant il me met en face de mon passé.
(à suivre )
Dernière édition par Throben le Ven 11 Mai - 15:17, édité 1 fois
Re: Divios, homme sentinelle
Il aurait pu être ami avec Stirodur.
Je comprends pourquoi Mordy l'aime bien.
Je comprends pourquoi Mordy l'aime bien.
Re: Divios, homme sentinelle
c'est vrai pour Stirodur, c'est le hasard j'avais oublié son histoire
Pas mal de points commun apparemment !
Pas mal de points commun apparemment !
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